Déclarée morte, une septuagénaire « ressuscite » miraculeusement sur la table d’un funérarium
Dans une bourgade du Nebraska, un fait divers aussi rarissime qu’incroyable a créé un émoi sans précédent. Constance Glantz, une résidente de la maison de retraite Mulberry à Waverly, a été déclarée morte puis trouvée vivante deux heures plus tard dans un funérarium.
Un décès prématurément annoncé
La chaîne de télévision locale KOLN rapporte qu’en ce jour apparemment ordinaire, le personnel de la maison de retraite Mulberry avait affirmé que Constance, une septuagénaire en soins palliatifs, avait rendu son dernier souffle dans la matinée. Dans la foulée, et comme la procédure le veut, son corps avait été acheminé au funérarium Butherus-Maser & Love, situé dans la ville adjacente de Lincoln. Ce n’est que deux heures après cette déclaration que la réalité a pris une tournure inattendue.
Retrouvée vivante au funérarium
C’est un employé du funérarium qui a fait la stupéfiante découverte : la « défunte » respirait bel et bien. L’employé s’est empressé de prévenir les autorités et les services de secours, qui ont rapidement procédé à l’évacuation de la dame encore en vie vers l’hôpital local. Lors d’une conférence de presse, les autorités ont conforté les citoyens : « Elle est toujours en vie ». Un soulagement général s’est fait sentir, alors que l’information de sa « résurrection » faisait le tour de la communité.
Des précédents qui questionnent
Bien que surprenante, cette histoire n’est pas un cas isolé aux États-Unis. Ben Houchin, adjoint en chef du shérif du comté de Lancaster, exprime son étonnement lors d’un échange avec CNN, soulignant le caractère inusuel de la situation. Il déclare que malgré ses 31 années de service, il n’a jamais été témoin d’un tel incident. Pourtant, la chaîne américaine rappelle plusieurs cas similaires. Plus tôt dans l’année, une femme de l’Iowa avait été trouvée vivante dans un sac mortuaire, tandis qu’en Floride, un homme s’était réveillé peu après que les médecins eurent déclaré sa mort.
Ces incidents interpellent et suggèrent la nécessité de revoir les protocoles de confirmation du décès pour éviter que de telles méprises ne se reproduisent à l’avenir. Ils rappellent que chaque étape, du constat de décès au travail des pompes funèbres, doit être assurée avec la plus grande attention et humanité.
L’histoire de Constance Glantz, désormais connue dans tout le Nebraska et au-delà, restera gravée comme un témoignage de l’importance d’une vigilance inflexible dans les procédures de fin de vie.